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La decadence visible de la roauté, reconnuë par cinq marques infaillibles. I. Par le peu d'authorité que ceux qui sont interessez à la soûtenir, ont auprés de sa Majesté. II. Par le peu de respect que les peuples ont pour tout ce qui vient de la part du Roy. III. Par l'usage des fourbes que le Conseil fait pratiquer à sa Majesté, pour abuser de la simplicité des peuples. IV. Par la facilité des entreprises ausquelles on porte sa Majesté sans les concerter comme il faut, pour les faire reüssir à son honneur. V. Et par le secours que le Conseil luy fait emprunter des Huguenots, en les rétablissant en leurs privileges, pour faire triompher le party Mazarin avec plus de succez.
- Auteur
- Du Bosc de Montandré, Claude (16..-1690)
La decadence visible de la roauté, reconnuë par cinq marques infaillibles. I. Par le peu d'authorité que ceux qui sont interessez à la soûtenir, ont auprés de sa Majesté. II. Par le peu de respect que les peuples ont pour tout ce qui vient de la part du Roy. III. Par l'usage des fourbes que le Conseil fait pratiquer à sa Majesté, pour abuser de la simplicité des peuples. IV. Par la facilité des entreprises ausquelles on porte sa Majesté sans les concerter comme il faut, pour les faire reüssir à son honneur. V. Et par le secours que le Conseil luy fait emprunter des Huguenots, en les rétablissant en leurs privileges, pour faire triompher le party Mazarin avec plus de succez.
- Auteur
- Du Bosc de Montandré, Claude (16..-1690)
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Il manifesto di monsignor il principe di Condè. Toccante le veritiere ragioni della di lui uscita da Parigi, fatta sotto li 6. di luglio 1651. Con una protesta alla Francia, ch' egli non la vuole contro alcun' altro, eccetto che contro il suo nemico, e del commun riposo il cardinal Mazarino. Fedelmente tradotta dal francese, secondo la copia stampata in Parigi.
- Auteur
- Du Bosc de Montandré, Claude (16..-1690)
Il manifesto di monsignor il principe di Condè. Toccante le veritiere ragioni della di lui uscita da Parigi, fatta sotto li 6. di luglio 1651. Con una protesta alla Francia, ch' egli non la vuole contro alcun' altro, eccetto che contro il suo nemico, e del commun riposo il cardinal Mazarino. Fedelmente tradotta dal francese, secondo la copia stampata in Parigi.
- Auteur
- Du Bosc de Montandré, Claude (16..-1690)
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Le manifeste veritable des intentions de Mr le Prince, qui ne tendent qu'au restablissement de l'authorité souveraine, & du repos des peuples. Presenté à Nosseigneurs de Parlement.
- Auteur
- Du Bosc de Montandré, Claude (16..-1690)
Le manifeste veritable des intentions de Mr le Prince, qui ne tendent qu'au restablissement de l'authorité souveraine, & du repos des peuples. Presenté à Nosseigneurs de Parlement.
- Auteur
- Du Bosc de Montandré, Claude (16..-1690)
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Le grand vol des princes, faisant voir, I. Quelle doit estre leur ambition pour estre veritablement grand & pour bien establir la durée de leur puissance. II. Quels doivent estre leurs efforts pour la liberté publique, & pour la seureté du commerce entre les peuples, ausquels ils doivent leur protection. III. Quelle doit estre leur conduite dans le maniement des affaires de l'Estat, & de la guerre. IV. Quelle doit estre leur intention dans toutes leurs entreprises, pour arriver à une fin heureuse. Discours politique, servant d'instruction à toute leur vie, & de regle à toutes leurs actions.
- Auteur
- Pierre de la Mère de Dieu (1610-1683)
- Du Bosc de Montandré, Claude (16..-1690)
Le grand vol des princes, faisant voir, I. Quelle doit estre leur ambition pour estre veritablement grand & pour bien establir la durée de leur puissance. II. Quels doivent estre leurs efforts pour la liberté publique, & pour la seureté du commerce entre les peuples, ausquels ils doivent leur protection. III. Quelle doit estre leur conduite dans le maniement des affaires de l'Estat, & de la guerre. IV. Quelle doit estre leur intention dans toutes leurs entreprises, pour arriver à une fin heureuse. Discours politique, servant d'instruction à toute leur vie, & de regle à toutes leurs actions.
- Auteur
- Pierre de la Mère de Dieu (1610-1683)
- Du Bosc de Montandré, Claude (16..-1690)
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L'escueil de la Royauté, ou La politique du Conseil, ou l'on verra dans un raisonnement pathetique, I. Que le Conseil nous fait apprehender le retour du Roy, lors que nous le desirons avec passion ; & qu'il veut le faire revenir en tyran, lors que nous demandons qu'il revienne en Roy. II. Que le Conseil fait apprehender ce regne, en ce qu'il ne veut point que le Roy relasche mesme dans les choses qui sont les plus contraires à l'avantage des peuples. III. Que le Conseil fait mépriser le Roy ; en ce qu'il le fait parler fiérement, lors mesme qu'il n'a pas assez de force, pour faire vouloir ce qu'il veut. IV. Que le Conseil fait agir le Roy ; non pas pour establir les interests de la Royauté, mais pour establir les interests de ses ministres. V. Que le Conseil semble degrader le Roy, en ce qu'il le fait agir en subjet ambitieux, qui veut s'establir par complot, & par intrigue. Par le Sieur d'Orandré.
- Auteur
- Du Bosc de Montandré, Claude (16..-1690)
L'escueil de la Royauté, ou La politique du Conseil, ou l'on verra dans un raisonnement pathetique, I. Que le Conseil nous fait apprehender le retour du Roy, lors que nous le desirons avec passion ; & qu'il veut le faire revenir en tyran, lors que nous demandons qu'il revienne en Roy. II. Que le Conseil fait apprehender ce regne, en ce qu'il ne veut point que le Roy relasche mesme dans les choses qui sont les plus contraires à l'avantage des peuples. III. Que le Conseil fait mépriser le Roy ; en ce qu'il le fait parler fiérement, lors mesme qu'il n'a pas assez de force, pour faire vouloir ce qu'il veut. IV. Que le Conseil fait agir le Roy ; non pas pour establir les interests de la Royauté, mais pour establir les interests de ses ministres. V. Que le Conseil semble degrader le Roy, en ce qu'il le fait agir en subjet ambitieux, qui veut s'establir par complot, & par intrigue. Par le Sieur d'Orandré.
- Auteur
- Du Bosc de Montandré, Claude (16..-1690)
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Discours d’Estat, ou il est prouvé par un raisonnement invincible que la perte du Mazarin & la délivrance des Princes sont absolument necessaires pour calmer les troubles de la monarchie. Et qu’a moins de cela, il faut se resoudre à vivre tousjours, ou dans la crainte, ou dans les effets d’une guerre civille.
- Auteur
- Du Bosc de Montandré, Claude (16..-1690)
Discours d’Estat, ou il est prouvé par un raisonnement invincible que la perte du Mazarin & la délivrance des Princes sont absolument necessaires pour calmer les troubles de la monarchie. Et qu’a moins de cela, il faut se resoudre à vivre tousjours, ou dans la crainte, ou dans les effets d’une guerre civille.
- Auteur
- Du Bosc de Montandré, Claude (16..-1690)
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Le depositaire des secrets de l'Etat, descouvrant au public, I. Les raisons pour lesquelles la Reyne ne fait entrer dans le Conseil, que des ministres estrangers. II. Les raisons pour lesquelles la Reyne ne veut point venir à Paris, quoy qu'elle le puisse sans aucun obstacle. III. Les raisons pour lesquelles la paix domestique ne peut point estre concluë, sans la generalle ; & pour lesquelles la Reyne ne veut point la generalle. IV. Les raisons pour lesquelles le Conseil du Roy tombe en des manquements déplorables ; & qui marquent un sens reprouvé. V. Et que Paris ne peut point esperer la Paix, à moins qu'il ne la fasse luy-mesme en se declarant pour les Princes. Par le sieur d'Orandré.
- Auteur
- Du Bosc de Montandré, Claude (16..-1690)
Le depositaire des secrets de l'Etat, descouvrant au public, I. Les raisons pour lesquelles la Reyne ne fait entrer dans le Conseil, que des ministres estrangers. II. Les raisons pour lesquelles la Reyne ne veut point venir à Paris, quoy qu'elle le puisse sans aucun obstacle. III. Les raisons pour lesquelles la paix domestique ne peut point estre concluë, sans la generalle ; & pour lesquelles la Reyne ne veut point la generalle. IV. Les raisons pour lesquelles le Conseil du Roy tombe en des manquements déplorables ; & qui marquent un sens reprouvé. V. Et que Paris ne peut point esperer la Paix, à moins qu'il ne la fasse luy-mesme en se declarant pour les Princes. Par le sieur d'Orandré.
- Auteur
- Du Bosc de Montandré, Claude (16..-1690)
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Le coup de partie, qui consiste a faire un regent, jusqu'à ce que le Roy soit plainement desabusé de toutes les mauvaises impressions que le Mazarin luy donne ; où l'on void dans une agreable methode, & par les preuves de la raison & de l'histoire, I. En combien d'occasions & de rencontres on a veu des regents dans l'Estat. II. Quelles sont les personnes qu'on doit choisir pour cette dignité ; & qui est-ce qui a droit de les choisir. III. Que toutes les raisons qu'on peut avoir pour l'establissement d'un regent se rencontrent aujourd'huy, & que les personnes qu'on doit choisir pour la regence, & qui ont droit d'en faire le choix, sont dans le party contraire à celuy de l'ennemy de l'Estat. IV. Qu'à moins que de proceder bien-tost à l'establissement d'un regent, on ne terminera jamais les desordres qu'avec la derniere desolation de cét Estat, qui ne s'ensuivra pas moins de la paix que de la guerre. V. Et qu'il est à propos qu'on supplie tres-humblement la Reyne, de se retirer dans son apanage.
- Auteur
- Du Bosc de Montandré, Claude (16..-1690)
Le coup de partie, qui consiste a faire un regent, jusqu'à ce que le Roy soit plainement desabusé de toutes les mauvaises impressions que le Mazarin luy donne ; où l'on void dans une agreable methode, & par les preuves de la raison & de l'histoire, I. En combien d'occasions & de rencontres on a veu des regents dans l'Estat. II. Quelles sont les personnes qu'on doit choisir pour cette dignité ; & qui est-ce qui a droit de les choisir. III. Que toutes les raisons qu'on peut avoir pour l'establissement d'un regent se rencontrent aujourd'huy, & que les personnes qu'on doit choisir pour la regence, & qui ont droit d'en faire le choix, sont dans le party contraire à celuy de l'ennemy de l'Estat. IV. Qu'à moins que de proceder bien-tost à l'establissement d'un regent, on ne terminera jamais les desordres qu'avec la derniere desolation de cét Estat, qui ne s'ensuivra pas moins de la paix que de la guerre. V. Et qu'il est à propos qu'on supplie tres-humblement la Reyne, de se retirer dans son apanage.
- Auteur
- Du Bosc de Montandré, Claude (16..-1690)
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L'advocat general, soustenant la cause de tous les grands de l'Estat, outrageusement offencez dans le libelle intitulé, La verité toute nue, dans laquelle l'autheur insolent, choque, I. L'honneur de la Reyne. II. La reputation de son Altesse royalle. III. La gloire de Monseigneur le Prince, de M. de Nemours, & de M. de La Rochefoucaut. IIII. La justice & l'integrité du Parlement. V. La generosité & la naissance de M. de Beaufort. VI. Et la vie irreprochable de M. de Broussel.
- Auteur
- Du Bosc de Montandré, Claude (16..-1690)
L'advocat general, soustenant la cause de tous les grands de l'Estat, outrageusement offencez dans le libelle intitulé, La verité toute nue, dans laquelle l'autheur insolent, choque, I. L'honneur de la Reyne. II. La reputation de son Altesse royalle. III. La gloire de Monseigneur le Prince, de M. de Nemours, & de M. de La Rochefoucaut. IIII. La justice & l'integrité du Parlement. V. La generosité & la naissance de M. de Beaufort. VI. Et la vie irreprochable de M. de Broussel.
- Auteur
- Du Bosc de Montandré, Claude (16..-1690)
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L'aveuglement des Parisiens, faisant voir qu'ils sont bien aveuglez de ne voir pas, I. Que la Cour ne veut point de paix, quelque montre qu'elle fasse du contraire. II. Qu'ils ne peuvent point esperer cette paix, si la Cour a le dessus. III. Qu'ils peuvent terminer les troubles, s'ils s'entendent avec les princes ; & qu'ils prolongeront ces mesmes troubles s'ils s'entendent avec la Cour. IV. Qu'ils sont plus obligez aux princes qu'à la Reyne ; ou qu'ils ne peuvent se passer des princes, & qu'ils peuvent se passer de la Reyne. V. Que la Reyne en veut à Paris ; & que pour faire triompher cette haine, elle veut premierement se défaire des princes. VI. Que la Reyne fait reconnoistre cette haine par le peu de cas qu'elle fait de nos conquestes de Catalogne, de Flandre & d'Italie. VII. Que la Reyne dispose tout à une desolation generale par la mauvaise education ; & par les mauvais principes qu'elle inspire au Roy son fils.
- Auteur
- Du Bosc de Montandré, Claude (16..-1690)
L'aveuglement des Parisiens, faisant voir qu'ils sont bien aveuglez de ne voir pas, I. Que la Cour ne veut point de paix, quelque montre qu'elle fasse du contraire. II. Qu'ils ne peuvent point esperer cette paix, si la Cour a le dessus. III. Qu'ils peuvent terminer les troubles, s'ils s'entendent avec les princes ; & qu'ils prolongeront ces mesmes troubles s'ils s'entendent avec la Cour. IV. Qu'ils sont plus obligez aux princes qu'à la Reyne ; ou qu'ils ne peuvent se passer des princes, & qu'ils peuvent se passer de la Reyne. V. Que la Reyne en veut à Paris ; & que pour faire triompher cette haine, elle veut premierement se défaire des princes. VI. Que la Reyne fait reconnoistre cette haine par le peu de cas qu'elle fait de nos conquestes de Catalogne, de Flandre & d'Italie. VII. Que la Reyne dispose tout à une desolation generale par la mauvaise education ; & par les mauvais principes qu'elle inspire au Roy son fils.
- Auteur
- Du Bosc de Montandré, Claude (16..-1690)
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L'apocalypse de l'Estat, faisant voir, I. Le Paralelle de l'attachement que la Reyne a pour le Mazarin, avec l'attachement que Brunehaut avoit pour Proclaïde, & Catherine de Medicis pour un certain Gondy. II. Que l'attachement de la Reyne pour le Mazarin est criminel d'Estat. III. Que ce mesme attachement donne fondement à toute sorte de soupçon. IV. Que par cet attachement la Reyne fait voir qu'elle ayme plus Mazarin que son Fils. V. Que par cet attachement la Reyne dispose toutes choses à un changement d'Estat, ou à l'establissement d'une tyrannie qui sera sans exemple.
- Auteur
- Du Bosc de Montandré, Claude (16..-1690)
L'apocalypse de l'Estat, faisant voir, I. Le Paralelle de l'attachement que la Reyne a pour le Mazarin, avec l'attachement que Brunehaut avoit pour Proclaïde, & Catherine de Medicis pour un certain Gondy. II. Que l'attachement de la Reyne pour le Mazarin est criminel d'Estat. III. Que ce mesme attachement donne fondement à toute sorte de soupçon. IV. Que par cet attachement la Reyne fait voir qu'elle ayme plus Mazarin que son Fils. V. Que par cet attachement la Reyne dispose toutes choses à un changement d'Estat, ou à l'establissement d'une tyrannie qui sera sans exemple.
- Auteur
- Du Bosc de Montandré, Claude (16..-1690)
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Le royal au Mazarin luy faisant voir par la raison & par l'histoire. I. Que l'authorité des roys sur la vie & sur le bien des subjets est fort limitée, à moins qu'elle ne soit tirannique. II. Que l'authorité des princes du sang est essentielle dans le gouvernement. III. Que l'authorité des autres parlemens de France, pour les affaires d'Estat, est inferieure & subordonnée à celle du parlement de Paris. IV. Que les prelats n'ont point d'authorité dans le maniment des affaires d'Estat ; & que leur devoir les engage de n'avoir d'attachement que pour le sanctuaire.
- Auteur
- Du Bosc de Montandré, Claude (16..-1690)
Le royal au Mazarin luy faisant voir par la raison & par l'histoire. I. Que l'authorité des roys sur la vie & sur le bien des subjets est fort limitée, à moins qu'elle ne soit tirannique. II. Que l'authorité des princes du sang est essentielle dans le gouvernement. III. Que l'authorité des autres parlemens de France, pour les affaires d'Estat, est inferieure & subordonnée à celle du parlement de Paris. IV. Que les prelats n'ont point d'authorité dans le maniment des affaires d'Estat ; & que leur devoir les engage de n'avoir d'attachement que pour le sanctuaire.
- Auteur
- Du Bosc de Montandré, Claude (16..-1690)
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Le raporteur des proces d'Estat, faisant voir, pour servir d'instruction au procez du comte de Rieux, I. Que les afrons qu'on fait aux princes du sang, sont des crimes d'Estat ; retombent sur la personne du Roy, & meritent d'estre punis avec autant, ou plus de rigueur, que ceux qui sont faits à sa Majesté. II. Que les paroles peu respectueuses dites à un prince du sang, doivent passer pour des attentats, ou des crimes d'Estat. III. Qu'il ne peut point estre d'offence legere, lors qu'elle est commise avec reflection contre un prince du sang. IV. Que la vengeance en doit principalement estre exigée par la rigueur des loix ; lors que ces afrons sont faits à des princes du sang, ou par d'autres grands, ou par des princes estrangers. V. Et que le Roy ne peut point donner grace à des crimes de cette matiere.
- Auteur
- Du Bosc de Montandré, Claude (16..-1690)
Le raporteur des proces d'Estat, faisant voir, pour servir d'instruction au procez du comte de Rieux, I. Que les afrons qu'on fait aux princes du sang, sont des crimes d'Estat ; retombent sur la personne du Roy, & meritent d'estre punis avec autant, ou plus de rigueur, que ceux qui sont faits à sa Majesté. II. Que les paroles peu respectueuses dites à un prince du sang, doivent passer pour des attentats, ou des crimes d'Estat. III. Qu'il ne peut point estre d'offence legere, lors qu'elle est commise avec reflection contre un prince du sang. IV. Que la vengeance en doit principalement estre exigée par la rigueur des loix ; lors que ces afrons sont faits à des princes du sang, ou par d'autres grands, ou par des princes estrangers. V. Et que le Roy ne peut point donner grace à des crimes de cette matiere.
- Auteur
- Du Bosc de Montandré, Claude (16..-1690)
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Le point de l'ovalle. Faisant voir que pour remedier promptement aux maladies de l'Estat, pendant qu'elles ont encor quelque resource. I. Il faut renforcer un party pour le faire triompher de haute-lute, parce que l'égalité feroit tirer la guerre en des longueurs insuportables. II. Il faut renforcer le party le plus juste ou le seul juste. III. Le party le plus juste ou le seul juste, c'est celuy qui apuye & qui est apuyé des loix. IV. Apres avoir reconnu le party le plus juste, il faut le renforcer par un soulevement & par une esmute generalle dans Paris. V. Ce soulevement & cette esmutte generalle sont apuyez sur les declarations royalles & sur les arrests des parlemens, & par consequent on peut les resoudre avec moins de crainte d'injustice.
- Auteur
- Du Bosc de Montandré, Claude (16..-1690)
Le point de l'ovalle. Faisant voir que pour remedier promptement aux maladies de l'Estat, pendant qu'elles ont encor quelque resource. I. Il faut renforcer un party pour le faire triompher de haute-lute, parce que l'égalité feroit tirer la guerre en des longueurs insuportables. II. Il faut renforcer le party le plus juste ou le seul juste. III. Le party le plus juste ou le seul juste, c'est celuy qui apuye & qui est apuyé des loix. IV. Apres avoir reconnu le party le plus juste, il faut le renforcer par un soulevement & par une esmute generalle dans Paris. V. Ce soulevement & cette esmutte generalle sont apuyez sur les declarations royalles & sur les arrests des parlemens, & par consequent on peut les resoudre avec moins de crainte d'injustice.
- Auteur
- Du Bosc de Montandré, Claude (16..-1690)
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Le philosophe d'Estat. Sur la majorité des roys, prescrite à l'age de 14. ans par Charles V. dit le Sage où les des-interessez verront clair pour justifier, sans erreur, les armes de l'un ou l'autre des deux partis, qui divisent aujourd'huy tout cet Estat…
- Auteur
- Du Bosc de Montandré, Claude (16..-1690)
Le philosophe d'Estat. Sur la majorité des roys, prescrite à l'age de 14. ans par Charles V. dit le Sage où les des-interessez verront clair pour justifier, sans erreur, les armes de l'un ou l'autre des deux partis, qui divisent aujourd'huy tout cet Estat…
- Auteur
- Du Bosc de Montandré, Claude (16..-1690)
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Le manuel politique, faisant voir par la raison et par l'authorité, I. Que le Roy dans l'âge où il est, ne peut point choisir son Conseil ; & que par consequent la Reyne, le Mazarin, le duc de Boüillon & le premier President, sont des conseillers ingerez par tyrannie, ou pour parler plus doucement, par usurpation : le raisonnement ne craindra point la replique. II. Que l'injustice du Conseil du Roy, se reconnoit par les principes par lesquelles il agit, & qui sont contraires à la royauté. III. Que les succez des entreprises du Conseil du Roy & l'imprudence avec laquelle il les menage, marquent encor plus visiblement la mesme injustice. IV. Et qu'il ne faut plus considerer le Roy, que comme une Majesté enchaînée par la tiranuie [sic] de son Conseil ; & vers lequel par consequent, c'est hors de saison qu'on fait des deputations & des remonstrances.
- Auteur
- Du Bosc de Montandré, Claude (16..-1690)
Le manuel politique, faisant voir par la raison et par l'authorité, I. Que le Roy dans l'âge où il est, ne peut point choisir son Conseil ; & que par consequent la Reyne, le Mazarin, le duc de Boüillon & le premier President, sont des conseillers ingerez par tyrannie, ou pour parler plus doucement, par usurpation : le raisonnement ne craindra point la replique. II. Que l'injustice du Conseil du Roy, se reconnoit par les principes par lesquelles il agit, & qui sont contraires à la royauté. III. Que les succez des entreprises du Conseil du Roy & l'imprudence avec laquelle il les menage, marquent encor plus visiblement la mesme injustice. IV. Et qu'il ne faut plus considerer le Roy, que comme une Majesté enchaînée par la tiranuie [sic] de son Conseil ; & vers lequel par consequent, c'est hors de saison qu'on fait des deputations & des remonstrances.
- Auteur
- Du Bosc de Montandré, Claude (16..-1690)
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La franche marguerite. Faisant voir. I. Que le Roy ne peut point restablir le Mazarin : & que par consequent, l'armement qui se fait pour ce dessein, est injuste. II. Que les loys fondamentales de l'Estat ne permettent point à la Reyne, d'estre chef du Conseil de sa Majesté ; & que par consequent tout ce qui se fait par son advis, ne doit point estre suivy. III. Que le Roy quelque majeur qu'il soit, doit neantmoins vivre sous la curatelle quoy que tacite. de S A. R. & de ses Princes, jusqu'à l'age prescrit par les loix pour l'emancipation des enfans. IV. Et que pendant cette conjoncture d'affaire, S. A. R. Mrs les Princes & les Parlemens, peuvent commander le ban & l'arriere-ban, pour terminer bien-tost cette guere mazarine.
- Auteur
- Du Bosc de Montandré, Claude (16..-1690)
La franche marguerite. Faisant voir. I. Que le Roy ne peut point restablir le Mazarin : & que par consequent, l'armement qui se fait pour ce dessein, est injuste. II. Que les loys fondamentales de l'Estat ne permettent point à la Reyne, d'estre chef du Conseil de sa Majesté ; & que par consequent tout ce qui se fait par son advis, ne doit point estre suivy. III. Que le Roy quelque majeur qu'il soit, doit neantmoins vivre sous la curatelle quoy que tacite. de S A. R. & de ses Princes, jusqu'à l'age prescrit par les loix pour l'emancipation des enfans. IV. Et que pendant cette conjoncture d'affaire, S. A. R. Mrs les Princes & les Parlemens, peuvent commander le ban & l'arriere-ban, pour terminer bien-tost cette guere mazarine.
- Auteur
- Du Bosc de Montandré, Claude (16..-1690)
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L'anatomie de la politique du coadjuteur faite par le Vraysemblable, sur la conduite du cardinal de Rets, où son Autheur donne à connoistre, I. Que ce Cardinal n'est innocent, que parce qu'il soustient que ses crimes sont plus cachez que ceux des autres. II. Que ce Prelat n'est Religieux, que parce qu'il a l'adresse de se déguiser souz le voile de l'hypocrise. III. Et que sa conduite est Pharisienne, c'est à dire, apparemment innocente, en effet coupable. Les Vray-semblances du Vray-semblable sont ensuite combatuës l'une apres l'autre, par des evidences qui justifient tous les bruits qui ont couru contre le cardinal de Rets.
- Auteur
- Du Bosc de Montandré, Claude (16..-1690)
L'anatomie de la politique du coadjuteur faite par le Vraysemblable, sur la conduite du cardinal de Rets, où son Autheur donne à connoistre, I. Que ce Cardinal n'est innocent, que parce qu'il soustient que ses crimes sont plus cachez que ceux des autres. II. Que ce Prelat n'est Religieux, que parce qu'il a l'adresse de se déguiser souz le voile de l'hypocrise. III. Et que sa conduite est Pharisienne, c'est à dire, apparemment innocente, en effet coupable. Les Vray-semblances du Vray-semblable sont ensuite combatuës l'une apres l'autre, par des evidences qui justifient tous les bruits qui ont couru contre le cardinal de Rets.
- Auteur
- Du Bosc de Montandré, Claude (16..-1690)
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Le point de l'ovalle faisant voir que pour remedier promptement aux maladies de l'Estat, pendant qu'elles ont encor quelque resource. I. Il faut renforcer un party pour le faire triompher de haute-lute ; parce que l'égalité feroit tirer la guerre en des longueurs insuportables. II. Il faut renforcer le party le plus juste ou le seul juste. III. Le party le plus juste ou le seul juste, c'est celuy qui apuye & qui est apuyé des loix. IV. Apres avoir reconnu le party le plus juste, il faut le renforcer par un soulevement & par une esmute generalle dans Paris. V. Ce soulevement & cette esmute generalle sont apuyez sur les declarations royalles & sur les arrests des parlements ; & par consequent on peut les resoudre avec moins de crainte d'injustice.
- Auteur
- Du Bosc de Montandré, Claude (16..-1690)
Le point de l'ovalle faisant voir que pour remedier promptement aux maladies de l'Estat, pendant qu'elles ont encor quelque resource. I. Il faut renforcer un party pour le faire triompher de haute-lute ; parce que l'égalité feroit tirer la guerre en des longueurs insuportables. II. Il faut renforcer le party le plus juste ou le seul juste. III. Le party le plus juste ou le seul juste, c'est celuy qui apuye & qui est apuyé des loix. IV. Apres avoir reconnu le party le plus juste, il faut le renforcer par un soulevement & par une esmute generalle dans Paris. V. Ce soulevement & cette esmute generalle sont apuyez sur les declarations royalles & sur les arrests des parlements ; & par consequent on peut les resoudre avec moins de crainte d'injustice.
- Auteur
- Du Bosc de Montandré, Claude (16..-1690)
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Le point de l'ovalle. Faisant voir que pour remedier promptement aux maladies de l'Estat, pendant qu'elles ont encor quelque resource. I. Il faut renforcer un party pour le faire triompher de haute-lute, parce que l'égalité feroit tirer la guerre en des longueurs insupportables. II. Il faut renforcer le party le plus juste ou le seul juste. III. Le party le plus juste ou le seul juste, c'est celuy qui apuye & qui est apuyé des loix. IV. Apres avoir reconnu le party le plus juste, il faut le renforcer par un soulevement & par une esmute generalle dans Paris. V. Ce souslevement & cette esmutte generalle sont apuyez sur les declarations royalles & sur les arrests des parlemens, & par consequent on peut les resoudre avec moins de crainte d'injustice.
- Auteur
- Du Bosc de Montandré, Claude (16..-1690)
Le point de l'ovalle. Faisant voir que pour remedier promptement aux maladies de l'Estat, pendant qu'elles ont encor quelque resource. I. Il faut renforcer un party pour le faire triompher de haute-lute, parce que l'égalité feroit tirer la guerre en des longueurs insupportables. II. Il faut renforcer le party le plus juste ou le seul juste. III. Le party le plus juste ou le seul juste, c'est celuy qui apuye & qui est apuyé des loix. IV. Apres avoir reconnu le party le plus juste, il faut le renforcer par un soulevement & par une esmute generalle dans Paris. V. Ce souslevement & cette esmutte generalle sont apuyez sur les declarations royalles & sur les arrests des parlemens, & par consequent on peut les resoudre avec moins de crainte d'injustice.
- Auteur
- Du Bosc de Montandré, Claude (16..-1690)
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La franche marguerite. Faisant voir. I. Que le Roy ne peut point restablir le Mazarin : & que par consequent, l'armement qui se fait pour ce dessein, est injuste. II. Que les loys fondamentales de l'Estat ne permettent point à la Reyne, d'estre chef du Conseil de sa Majesté ; & que par consequent tout ce qui se fait par son advis, ne doit point estre suivy. III. Que le Roy, quelque majeur qu'il soit, doit neantmoins vivre sous la curatelle quoy que tacite, de S. A. R. & de ses Princes, jusqu'à l'age prescrit par les loix pour l'emancipation des enfans. IV. Et que pendant cette conjoncture d'affaire, S. A. R. Mrs les Princes & les Parlemens, peuvent commander le ban & l'arriere-ban, pour terminer bien tost cette guerre mazarine.
- Auteur
- Du Bosc de Montandré, Claude (16..-1690)
La franche marguerite. Faisant voir. I. Que le Roy ne peut point restablir le Mazarin : & que par consequent, l'armement qui se fait pour ce dessein, est injuste. II. Que les loys fondamentales de l'Estat ne permettent point à la Reyne, d'estre chef du Conseil de sa Majesté ; & que par consequent tout ce qui se fait par son advis, ne doit point estre suivy. III. Que le Roy, quelque majeur qu'il soit, doit neantmoins vivre sous la curatelle quoy que tacite, de S. A. R. & de ses Princes, jusqu'à l'age prescrit par les loix pour l'emancipation des enfans. IV. Et que pendant cette conjoncture d'affaire, S. A. R. Mrs les Princes & les Parlemens, peuvent commander le ban & l'arriere-ban, pour terminer bien tost cette guerre mazarine.
- Auteur
- Du Bosc de Montandré, Claude (16..-1690)
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La franche marguerite. Faisant voir : I. Que le Roy ne peut point rétablir le Mazarin : & par consequent, l'armement qui se fait pour ce dessein est injuste. II. Que les loix fondamentales de l'Estat ne permettent point à la Reyne, d'estre chef du Conseil de sa Majesté ; & que par consequent tout ce qui se fait par son advis, ne doit point estre suivy. III. Que le Roy, quelque majeur qu'il soit, doit neantmoins vivre sous la curatele, quoy que tacite, de S. A. R. & de ses Princes, jusqu'à l'age prescrit par les loix pour l'emancipation des enfans. IV. Et que pendant cette conjoncture d'affaire, S. A. R. Mrs les Princes & les Parlemens, peuvent commander le ban & l'arriereban, pour terminer bien-tost cette guerre mazarine.
- Auteur
- Du Bosc de Montandré, Claude (16..-1690)
La franche marguerite. Faisant voir : I. Que le Roy ne peut point rétablir le Mazarin : & par consequent, l'armement qui se fait pour ce dessein est injuste. II. Que les loix fondamentales de l'Estat ne permettent point à la Reyne, d'estre chef du Conseil de sa Majesté ; & que par consequent tout ce qui se fait par son advis, ne doit point estre suivy. III. Que le Roy, quelque majeur qu'il soit, doit neantmoins vivre sous la curatele, quoy que tacite, de S. A. R. & de ses Princes, jusqu'à l'age prescrit par les loix pour l'emancipation des enfans. IV. Et que pendant cette conjoncture d'affaire, S. A. R. Mrs les Princes & les Parlemens, peuvent commander le ban & l'arriereban, pour terminer bien-tost cette guerre mazarine.
- Auteur
- Du Bosc de Montandré, Claude (16..-1690)
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Les dernieres convulsions de la monarchie reconnues. I. Par la necessité d'esloigner Mazarin, & par la necessité de le retenir. II Par la necessité de l'eslargissement ; & par la necessité de la detention des princes. III. Par la necessité de faire de grandes impositions, pour remplir les épargnes vuides ; & par la necessité de soulager le peuple, pour tacher de le remettre. IV. Et par les approches de la majorité moins à desirer qu'à craindre.
- Auteur
- Du Bosc de Montandré, Claude (16..-1690)
Les dernieres convulsions de la monarchie reconnues. I. Par la necessité d'esloigner Mazarin, & par la necessité de le retenir. II Par la necessité de l'eslargissement ; & par la necessité de la detention des princes. III. Par la necessité de faire de grandes impositions, pour remplir les épargnes vuides ; & par la necessité de soulager le peuple, pour tacher de le remettre. IV. Et par les approches de la majorité moins à desirer qu'à craindre.
- Auteur
- Du Bosc de Montandré, Claude (16..-1690)
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Le tu-autem faisant pressentir aux peuples, I. Ce qu'on doit esperer, si monseigneur le Prince a l'advantage sur Mazarin. II. Ce qu'on doit apprehender, si Mazarin a l'advantage sur monseigneur le Prince. III. Qu'on ne peut choquer monseigneur le Prince sans choquer le Roy. IV. Et que c'est offencer le Roy, que d'entrer dans le party du Mazarin.
- Auteur
- Du Bosc de Montandré, Claude (16..-1690)
Le tu-autem faisant pressentir aux peuples, I. Ce qu'on doit esperer, si monseigneur le Prince a l'advantage sur Mazarin. II. Ce qu'on doit apprehender, si Mazarin a l'advantage sur monseigneur le Prince. III. Qu'on ne peut choquer monseigneur le Prince sans choquer le Roy. IV. Et que c'est offencer le Roy, que d'entrer dans le party du Mazarin.
- Auteur
- Du Bosc de Montandré, Claude (16..-1690)
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Le sceptre de France en quenoüille par les regences des reynes en France, faisant voir par de naifves representations d'histoires. I. Les desordres du pouvoir absolu des femmes en France, II. Par la mauvaise education des roys. III. La pernicieuse conduite de l'Estat. IV. Les horribles factions qui s'y sont eslevées, & qui ont souvent mis cette monarchie à deux doigts de sa ruine. V. Et le moyen infaillible de remedier à tous ces desordres, si l'on veut s'en servir efficacement & dans l'usage des loix fondamentales.
- Auteur
- Luyt, Robert (16..?-16..)
- Du Bosc de Montandré, Claude (16..-1690)
Le sceptre de France en quenoüille par les regences des reynes en France, faisant voir par de naifves representations d'histoires. I. Les desordres du pouvoir absolu des femmes en France, II. Par la mauvaise education des roys. III. La pernicieuse conduite de l'Estat. IV. Les horribles factions qui s'y sont eslevées, & qui ont souvent mis cette monarchie à deux doigts de sa ruine. V. Et le moyen infaillible de remedier à tous ces desordres, si l'on veut s'en servir efficacement & dans l'usage des loix fondamentales.
- Auteur
- Luyt, Robert (16..?-16..)
- Du Bosc de Montandré, Claude (16..-1690)
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Le politique royal. Faisant voir à sa Majesté Regente, & à son Altesse Royalle, que Mazarin s'en défera infailliblement, supposé qu'il puisse conserver les affections du Roy estant majeur, comme il tâche sans doute de s'y ancrer, non moins par leur entremise, que par ses propres soupplesses. Et les suppliant par leurs sacrées personnes si cheres, & si necessaires à l'Estat, de préoccuper ce coup infaillible de cet ingrat, en le sacrifiant à la haine publique ; & rendant à mesme temps au Roy, à eux-mesmes, & à la France, la liberté tant desirée, & tant necessaire de messieurs les Princes.
- Auteur
- Du Bosc de Montandré, Claude (16..-1690)
Le politique royal. Faisant voir à sa Majesté Regente, & à son Altesse Royalle, que Mazarin s'en défera infailliblement, supposé qu'il puisse conserver les affections du Roy estant majeur, comme il tâche sans doute de s'y ancrer, non moins par leur entremise, que par ses propres soupplesses. Et les suppliant par leurs sacrées personnes si cheres, & si necessaires à l'Estat, de préoccuper ce coup infaillible de cet ingrat, en le sacrifiant à la haine publique ; & rendant à mesme temps au Roy, à eux-mesmes, & à la France, la liberté tant desirée, & tant necessaire de messieurs les Princes.
- Auteur
- Du Bosc de Montandré, Claude (16..-1690)
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Les pressantes conjurations d'un tres-devot exorciste francois, en vertu desquelles on doit chasser ce diable de Mazarin du corps de la France.
- Auteur
- Du Bosc de Montandré, Claude (16..-1690)
Les pressantes conjurations d'un tres-devot exorciste francois, en vertu desquelles on doit chasser ce diable de Mazarin du corps de la France.
- Auteur
- Du Bosc de Montandré, Claude (16..-1690)
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Les paradoxes d'Estat servant d'entretien aux bons esprits. Et faisant voir, I. Qu'il falloit absolument que monseigneur le Prince fust emprisonné, parce qu'il estoit innocent. II. Qu'il est necessaire que Mazarin revienne. III. Que le mauvais gouvernement du Mazarin a esté tres-advantageux à l'Estat. IV. Que la Reyne a ruiné la fortune du cardinal Mazarin. V. Qu'il est necessaire qu'on fasse de nouvelles impositions pour soulager le peuple. VI. Que le ministere d'Estat n'est point un degré digne d'estre brigué par un homme de cœur. VII. Qu'il estoit necessaire que les jansenistes & les molinistes s'entre-accusassent d'erreur.
- Auteur
- Du Bosc de Montandré, Claude (16..-1690)
Les paradoxes d'Estat servant d'entretien aux bons esprits. Et faisant voir, I. Qu'il falloit absolument que monseigneur le Prince fust emprisonné, parce qu'il estoit innocent. II. Qu'il est necessaire que Mazarin revienne. III. Que le mauvais gouvernement du Mazarin a esté tres-advantageux à l'Estat. IV. Que la Reyne a ruiné la fortune du cardinal Mazarin. V. Qu'il est necessaire qu'on fasse de nouvelles impositions pour soulager le peuple. VI. Que le ministere d'Estat n'est point un degré digne d'estre brigué par un homme de cœur. VII. Qu'il estoit necessaire que les jansenistes & les molinistes s'entre-accusassent d'erreur.
- Auteur
- Du Bosc de Montandré, Claude (16..-1690)
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Le manifeste de monseigneur le prince de Condé touchant les veritables raisons de sa sortie hors de Paris, faite le 6. juillet 1651. Avec une protestation qu'il fait à la France, qu'il n'en veut qu'à l'ennemy commun de son repos, c'est à dire au cardinal Mazarin.
- Auteur
- Du Bosc de Montandré, Claude (16..-1690)
Le manifeste de monseigneur le prince de Condé touchant les veritables raisons de sa sortie hors de Paris, faite le 6. juillet 1651. Avec une protestation qu'il fait à la France, qu'il n'en veut qu'à l'ennemy commun de son repos, c'est à dire au cardinal Mazarin.
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- Du Bosc de Montandré, Claude (16..-1690)
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